Il me vient des pensées volages
De folles envies de voyages
Survoler ton corps sage
Susurrer de coquins messages
Au creux de ton oreille
Que je mordille pendant ton sommeil
Au réveil
Tu seras mon soleil
Ah, ah, et moi j’aime ça
Oui j’aime ça
Ah oui j’aime ça
Il me vient des idées perverses
Viens-là Bella que j’te renverse
Avec une petite tape sur tes fesses
Admire donc un peu mon adresse
Mais ne dépassons pas les limites
L’érotisme en rythme ça t’excite
Mais le porno ça t’irrite
Ah, ah, et t’aimes pas ça
Non pas ça
Oh non pas ça
Il m’vient des idées polissonnes
Accroche-toi aux rideaux ma lionne
Agrippe-toi à moi friponne,
C’est la condition sine qua non
Pour que tout en restant nous même
L’amour tutoiera l’obscénité et le blasphème
Ah, ah, et j’aime ça, oui j’aime, oh oui j’aime ça
Il me vient des pensées vicieuses
Seulement pour te rendre amoureuse
Simplement pour qu’tu sois radieuse
Auprès de moi ma tendre chieuse
Il est grand temps que je titille
Ta douce fleur d’amour là qui scintille, je vacille
Tes charmes m’émoustillent
Ah ah Et oui j’aime ça
Oh j’aime ça
Oui j’aime ça
Il me vient des paroles d’amour
Des envies de toi jour après jour
Te câliner, te faire la cour
Arrêter net le temps qui court
Blottie tout contre moi,
Non tu ne craindras plus d’avoir froid
J’aime ça, J’aime ça, j’aime ça
Oh j’aime ça, j’aime ça, j’aime ça
Il me vient des pensées volages
De folles envies de voyages
Survoler ton corps sage
Susurrer de coquins messages
Il me vient des idées perverses
Viens-là Bella que j’te renverse
‘vec une petite tape sur tes fesses
Admire donc un peu mon adresse
J’aime ça, J’aime ça
Je ne peux m’empêcher
De ne penser qu’à toi
J’aime ça, dieu que j’aime ça
Rien ne pourra m’empêcher
De croquer ta pomme.
François Fraisse