On n’est plus les mêmes quand on arrive ici,
quel drôle de stratagème, quelle folie
On est plutôt bohême et moi j’aime
Quand on arrive ici,
L’amour fait la part belle au corps et à l’oubli
On n’est plus les mêmes quand on arrive ici,
Quel drôle de stratagème, quelle folie
On est plutôt bohême et moi j’aime
On est plutôt bohême et moi j’aime
Quand on arrive ici,
L’amour fait la part belle au corps et à l’oubli
On n’est plus les mêmes puisqu’on est de passage,
Libérés de nos vices de nos tocs et naufrages
On n’est plus les mêmes loin très loin de nos cages,
On n’est plus les mêmes loin très loin de nos cages,
Infiniment dociles, habilement sauvages
Forts ou légers, brillants ou sous-doués,
Tout roule tout roucoule tout fonctionne
Vieilles belles ou jeunes laids, pauvres ou aisés,
Vieilles belles ou jeunes laids, pauvres ou aisés,
Nos âmes se remplissent enfin de candeur
On n’est plus les mêmes quand on arrive ici,
A l’extrême profondeur de nos interdits
Et malgré le blasphème
Et malgré le blasphème
On est lucides quand même,
On sait que ça n’durera
Qu’une poignée de semaines
On est toujours les mêmes
On est toujours les mêmes
Bien qu’un peu différents,
On redevient enfant, on redevient amant
On est toujours les mêmes, oh c’est insignifiant,
On est toujours les mêmes, oh c’est insignifiant,
D’être devenu poètes en aussi peu de temps
Forts ou légers, brillants ou sous-doués,
Tout roule tout roucoule tout fonctionne
Vieilles belles ou jeunes laids, pauvres ou aisés,
Vieilles belles ou jeunes laids, pauvres ou aisés,
Nos âmes se remplissent enfin de candeur
Toi, moi, nous, nus, habillés, peu importe,
Mais qu’est-ce qu’il nous arrive ? Tout se mélange
Et ce verre de Chianti qui te fait tourner la tête,
Et ce verre de Chianti qui te fait tourner la tête,
On est bien, n’est-ce pas ?
Il me vient une envie soudaine de…de…
Il me vient une envie soudaine de…de…
De pizzas avec toi
Gorgonzola, Azura, Dolce Vita,
Gorgonzola, Azura, Dolce Vita,
Margarita, Margarita ? C’est ton prénom…J’adore.
François Fraisse